On ne sait pas quel est le plaisir de certains individus (malheureusement trop nombreux) de vandaliser, de casser, en un mot de détruire tout ce qui se trouve sur leur chemin — même s’il est hors de leur portée. C’est ainsi que ni enseignes, ni vitrines, ni murs n’échappent à leur vindicte. Après leur passage, tout n’est plus que ruines et il ne reste plus aux malheureux propriétaires, victimes de ces méfaits, que leurs yeux pour pleurer. Evidemment, ces derniers n’ont plus ni les moyens ni le courage pour réparer les dégâts. Que faire sinon s’en remettre à la bonté divine.